Anthony Cordier est juge, ou flic, mais pas réalisateur. Ou alors il est très mal conseillé, en plus d'être injustement financé pour un film aussi daubique et so frenchy-CarlaBruni. Tib-O-Rama est en passe de devenir un blog anti cinéma français, c'est quand même dommage, c'était pas le but.
Revenons-en à notre poignée d'élus, deux couples : Rochdy miammiamsliourp Zem et Marina "J'fais rire à chaque ..." Foïs face à Nicolas miam Duvauchelle et Elodie BoboBouchez. Sur accord collégial, chacune va donc picorer chez le chacun de l'autre et vice versa.
Les deux minettes sont tout ce qu'il existe de moins sensuel dans le monde des bobos, elles arborent d'ailleurs le même ticket de métro (preuve irréfutable de parisianisme visant à exclure l'identification des lyonnaises) (La longueur du poil faisant preuve de personnalité). Certains diront peut-être qu'au moins, on nous épargne les éternelles bombes sexuelles auxquelles il est impossible de s'identifier (mais les hommes ne s'identifient pas au désir des mâles du film), mais là pour le coup, vu la taille de leurs seins, j'aurais aussi pu avoir un rôle (Bouchez à des gros gants de toilette quand même). Personne ne semble vraiment prendre de plaisir (surtout lorsque l'on voit Marina Foïs apprécier un cunni), c'est tout contenu, tout retenu et c'est en ça que le film est totalement dépourvu de sensualité.
Malgré une situation initiale plutôt sympa, l'amitié naissante, la bonne humeur du quotidien piqué par la nouveauté (15 minutes montre en main, je le jure je l'ai regardée pendant environ 1h50), c'est certes très bobo-like (Marina: "Je ne savais pas que la gym était un sport olympique."), mais on s'y attend. Une fois le truc installé, Duvauchelle commence à s'en mordre la tib (avec son lot de suspens) et le film s'étiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiire en longueur pour nous montrer quoi ? L'aventure échangiste, la tib en berne, qui prend l'eau. Ce scénar vide aurait fait un très bon moyen métrage (ou une pub pour meetic échangiste)...
Plus techniquement, même si monsieur parenthèse se chargera de mettre son cube de sel, la réal est convenue, faussement légère, le point n'est même pas toujours bien fait (champs contre champs sur Marina "J'ai" Foisse) (ceci est une contrepèterie très private), la fameuse scène dans la farine est sous-exploitée et pas fameuse du tout (d'un anti-esthétisme redoutable ; Duvauchelle aurait-il eut l'expérience passée de sniffer des culs pleins de poudre ?... ), la scène des téléphones est absolument ridicule ("Avec un boboIphone on peut être relié avec les gens que l'on aime"... Steve Jobs doit adorer) et j'en passe et des meilleures (Oui Roshdy a forcément des parents pauvres vivant en Banlieue HLM, sa mère ne pouvait pas être Rachida Dati). L'intention du film est juste de nous rappeler que l'amour c'est beau, mais ça fait mal ! Je préfère quand c'est dit par Didier Barbelavie et Felix Grave.
Tibotron attend avec impatience un film français digne d'un Tibolux ! Peut-être dans les séances à la maison... à voir.
Revenons-en à notre poignée d'élus, deux couples : Rochdy miammiamsliourp Zem et Marina "J'fais rire à chaque ..." Foïs face à Nicolas miam Duvauchelle et Elodie BoboBouchez. Sur accord collégial, chacune va donc picorer chez le chacun de l'autre et vice versa.
Les deux minettes sont tout ce qu'il existe de moins sensuel dans le monde des bobos, elles arborent d'ailleurs le même ticket de métro (preuve irréfutable de parisianisme visant à exclure l'identification des lyonnaises) (La longueur du poil faisant preuve de personnalité). Certains diront peut-être qu'au moins, on nous épargne les éternelles bombes sexuelles auxquelles il est impossible de s'identifier (mais les hommes ne s'identifient pas au désir des mâles du film), mais là pour le coup, vu la taille de leurs seins, j'aurais aussi pu avoir un rôle (Bouchez à des gros gants de toilette quand même). Personne ne semble vraiment prendre de plaisir (surtout lorsque l'on voit Marina Foïs apprécier un cunni), c'est tout contenu, tout retenu et c'est en ça que le film est totalement dépourvu de sensualité.
Malgré une situation initiale plutôt sympa, l'amitié naissante, la bonne humeur du quotidien piqué par la nouveauté (15 minutes montre en main, je le jure je l'ai regardée pendant environ 1h50), c'est certes très bobo-like (Marina: "Je ne savais pas que la gym était un sport olympique."), mais on s'y attend. Une fois le truc installé, Duvauchelle commence à s'en mordre la tib (avec son lot de suspens) et le film s'étiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiire en longueur pour nous montrer quoi ? L'aventure échangiste, la tib en berne, qui prend l'eau. Ce scénar vide aurait fait un très bon moyen métrage (ou une pub pour meetic échangiste)...
Plus techniquement, même si monsieur parenthèse se chargera de mettre son cube de sel, la réal est convenue, faussement légère, le point n'est même pas toujours bien fait (champs contre champs sur Marina "J'ai" Foisse) (ceci est une contrepèterie très private), la fameuse scène dans la farine est sous-exploitée et pas fameuse du tout (d'un anti-esthétisme redoutable ; Duvauchelle aurait-il eut l'expérience passée de sniffer des culs pleins de poudre ?... ), la scène des téléphones est absolument ridicule ("Avec un boboIphone on peut être relié avec les gens que l'on aime"... Steve Jobs doit adorer) et j'en passe et des meilleures (Oui Roshdy a forcément des parents pauvres vivant en Banlieue HLM, sa mère ne pouvait pas être Rachida Dati). L'intention du film est juste de nous rappeler que l'amour c'est beau, mais ça fait mal ! Je préfère quand c'est dit par Didier Barbelavie et Felix Grave.
Tibotron attend avec impatience un film français digne d'un Tibolux ! Peut-être dans les séances à la maison... à voir.
Voilà
RépondreSupprimercomment
RépondreSupprimeron fait genre
RépondreSupprimerun billet
RépondreSupprimerenflamme
RépondreSupprimerles lecteurs !
RépondreSupprimerJe kiffe parce que vous êtes des gros oufs sur ce blog !!!! Vous êêêêêtes des malaaaaaaaaaaades !
RépondreSupprimerYeah !
Merci,
RépondreSupprimerLaisse plus souvent des traces de ton passage et peut être qu'avec un nom on t'invitera à diner.
Bisous